OMOTOUNDE


 

Kalala Oussiré

Kalala Omotoundé

Dans le torrent de mes larmes

Coulent ton verbe

 Justice Justesse

Liberté et de dignité

 

Le voile peu à peu se déchire

Me voici debout devant la porte Djed

Bientôt l’esprit submerge la matière

Dans l’immensité de la mer et sur terre

 

Kalala Oussiré

Kalala Omotoundé

La lune n’apaise pas mon rêve

J’attends que le jour se lève

Après l’immense nuit

Où nous replonge ton départ


Mais le Nil dans ses méandres se souvient

Sois et danse dans l’éternité

Sois et vis comme l’encre du scribe

Sur les parois de l'ultime demeure


Quand le soleil épousera la lune

Nous serons toi et moi en transe

Dans le couloir étroit de la pyramide

Du pharaon de Memphis

Au confins des terres « kouchites »

Commentaires

Véronique a dit…
Un tumulus, dans ce géant, pour marquer le temps. Ce Nil d'où mon frère Moïse est arrivé il y a quelques années.

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