Tana

Les murs se dressent
Comme des montagnes
Qui ferment le ponant

L’oiseau en grelot sur la roche
Défie la vague, puis s’envole
Oiseau migrateur, oiseau sans frontière

Et moi au pied des cimes
J’attends qu’il me prête ses ailes
Pour voler vers toi, ma tendre, mon aimée

Telle une jacinthe sauvage
J’aimerais faire racine
Dans tes jardins de merveille
Me ressourcer à ta fontaine
Compter avec toi les étoiles


Le temps est bien long
Plus rien ne me console
Rude est l'attente
De plus en plus,
De jour en semaine
Ton absence est une souffrance

En mon âme qui s’étiole
Le temps de l’automne
Se fait long et monotone
Ton absence m'encastre
Dans un sinistre silence

Commentaires

Anonyme a dit…
As tu perdu un amour cher à ton coeur, tu ne m'en a jamais parlé....Elle te manque ?

So

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